La Casa De Papel Braquage Et Rébellion
By saikytv 48 views 3 hours agoShow Description
Couplet 1 :
Yo, c’est l’histoire du Braquage, de l’plan parfait,
Le Professeur en tête, tout est préparé,
Ils entrent à la Banque, pour faire la révolution,
C’est pas juste du cash, c’est une vraie mission.
Tokyo, Berlin, Nairobi, Rio, et les autres,
Chaque membre a son rôle, pour ne pas qu’ils sombrent,
Mais les flics à leurs trousses, toujours un coup de plus,
Les tensions montent, faut pas lâcher, faut pas perdre la route.
Refrain :
La Casa de Papel, c’est la guerre et la folie,
Le Professeur mène le jeu, dans cette folie,
Braquages et trahisons, tout est entre les mains,
Faut tenir le coup, jusqu’au bout du chemin.
Couplet 2 :
Saison 2, ça chauffe encore plus,
Les hostages, les flics, ils ne lâchent plus,
Berlin meurt, mais son héritage reste,
Et le Professeur, lui, prépare la prochaine quête.
Saison 3, on recommence tout,
La Banque d'Espagne, le plan est fou,
Les amis sont là, mais les ennemis aussi,
Les tensions grandissent, le plan peut-il réussir, dis-moi, ça suffit ?
Refrain :
La Casa de Papel, c’est la guerre et la folie,
Le Professeur mène le jeu, dans cette folie,
Braquages et trahisons, tout est entre les mains,
Faut tenir le coup, jusqu’au bout du chemin.
Couplet 3 :
Saison 4, tout dérape, la fin approche,
Les héros se battent, mais le danger les broche,
Les alliances se forment, les plans se déjouent,
Mais la fin du braquage, c’est loin d’être flou.
Saison 5, c’est l’heure de l’assaut final,
La guerre éclate, et c’est un carnage total,
La fin du cycle, tout le monde en danger,
Mais faut se battre pour le but, c’est ça le vrai enjeu, t’as pigé ?
Refrain :
La Casa de Papel, c’est la guerre et la folie,
Le Professeur mène le jeu, dans cette folie,
Braquages et trahisons, tout est entre les mains,
Faut tenir le coup, jusqu’au bout du chemin.
Outro :
De Tokyo à Madrid, chaque mouvement compte,
Les braqueurs sont prêts, dans l’ombre ils affrontent,
La Casa de Papel, l’histoire se termine,
Mais le Professeur reste là, dans l’ombre, avec sa machine.